Pour le premier anniversaire du retour de l’Excès, deux monstres sacrés de la scène locale et annonceurs historiques du magazine dès son premier numéro en 1994.
En page 7, l’ouvre-boîte de l’Akathor. Oui, oui, vous m’avez bien lu, un ouvre boîte ! Car tout y a changé et c’est bien une nouvelle version du pub du Cours Saleya. L’Excès est né un soir.. d’excès bien sûr. C’était une conversation avec Jean et William... chez William’s, le maître de l’Akathor aujourd’hui... longue histoire d’amour n’est-ce pas ?
Et puis en couverture un autre dieu du live azuréen, le Texas Truck. Grande histoire fidèle aussi avec l’Excès Magazine. Ce sont eux, tous ces organisateurs de vos sorties qui nous ont aidé à forger l’Excès Magazine jusqu’à sa formule d’aujourd’hui ; le numéro 1 de l’actualité culturelle sur la Côte d’Azur tout en étant distrayant.
Une formule unique qui rassemble tous les arts sans distinction pourvu qu’il y ait du talent, des photos, des interviews de locaux.
Sur ce principe, à l’Excès, on s’amuse bien, recherchons les valeurs sûres et les nouveautés et nous rejetons l’ennui. A lire en creux de ce qui n’est pas dans l’Excès. Et plus les prétentieux le déteste, plus nous restons sur la bonne voie ! C’était une conviction et un pari ; nombreux sont ceux qui m’avaient déconseillé la «folie» d’éditer un magazine papier. Hé, hé...

Excessivement vôtre...
F.B.